Comment perdre du poids avec la phytothérapie ?

Souhaitez-vous perdre du poids ? La manière avec laquelle vous vous alimentez et la nature des aliments que vous ingérez est un facteur clé. Voilà qui souligne l’intérêt de la phytothérapie, mais comment perdre du poids grâce aux plantes ? Focus dans cet article.

Les plantes à ingérer pour perdre du poids

Les plantes qui aident à perdre des matières grasses agissent de différentes façons sur l’organisme. Certaines plantes appelées « coupe-faim » sont censées réduire l’appétit. D’autres par contre vous donnent une sensation de ventre plein. Il existe aussi des plantes dites diurétiques qui stimulent l’élimination de l’urine. Enfin, il y a les plantes chargées d’empêcher l’absorption intestinale d’une partie des graisses ingérées. Pour en savoir plus au sujet des plantes, utilisées en phytothérapie, cliquer ici .

Les aliments coupe-faim

S’il est vrai que la caféine a des propriétés stimulantes, elle a aussi un effet coupe-faim. C’est pourquoi les aliments comme le guarana (Paullinia cupana), le maté, le caféier (Coffea arabica et C. canephora) et le théier (Camelia sinensis), favorisent la perte de poids. Toutefois, leur consommation ne devrait pas être régulière au risque d’estomper la coupe d’appétit.

Les aliments de lest

Les algues (fucus, wakamé, etc.) confèrent, grâce à leur richesse en fibres et leur capacité à retenir l’eau des aliments, une sensation de satiété. Cet effet est aussi observé avec le citron et les pommes grâce aux pectines qu’ils contiennent. Néanmoins, aucune preuve formelle n’existe à ce propos.

Les plantes diurétiques

Les plantes diurétiques contribuent à la perte du poids grâce à l’élimination de l’eau du corps dans l’urine. Les cultures concernées sont : Théier, caféier, pissenlit, prêle des champs, cerise et bien d’autres.

Les aliments qui bloquent l’absorption intestinale des graisses

Les fibres extraites des graines de psyllium, des graines de fenugrec ou des algues seraient capables de fixer une partie des graisses contenues dans les aliments ingérés. Cependant, cette hypothèse n’a pas encore été vérifiée par une expérience scientifique.